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22 juin 2013

Fermeture annuelle.

Vous avez pu lire le premier chapitre du roman : La disparition virtuelle de Régina Basel. Quelques jours de vacances bien méritées (une semaine) nous sépareront désormais du chapitre deux, qui commencera à paraître la semaine prochaine à un rythme plus soutenu durant tout l'été ; car n'est-il pas de plaisir plus grand que d'attendre, (mais pas trop) le moment de lire la suite d'un roman dont la progression épaissit l'énigme ? Nous avançons mais à tâtons ; un homme accroche l'image d'une défunte disparue, cette défunte qui ne peut (réalistement) pas l'être, nous renvoie, par sa disparition une forme de révélation, qui n'est révélation qu'en tant que ce qu'elle dit n'est jamais qu'informulé ; que la mort n'est pas cette délivrance, que la mort est un Absolu plus absolu que toutes les choses ou émotions que nous pouvons éprouver durant notre existence, mais le drame, la tragédie plutôt est que cet Absolu plus absolu que l'amour, plus absolu que le sens fébrile dont nous parons notre existence, est fait de pure négativité, de pure solitude...Patrick Latour (dont le nom n'est pas hasardeux bien que commun) désoeuvré comme tout homme qui a déjà aimé, eu un enfant, et qui travaille, se retrouve presque malgré lui à chercher la trace de cette Régina. Parce que Régina porte avec elle cette connaissance mortelle de l'absolu des absolus...Le chapitre deux permettra-t-il à notre Latour de retrouver notre Régina ? La retrouvant,  y gagnera-t-il quelque chose ? A samedi prochain et merci aux lecteurs...

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